*à… flâner : Paris en quelques heures !
Pour un samedi et quelques heures d'un dimanche à Paris: quelques flâneries bien agréables pour commencer ces vacances et réussir un weekend en amoureux...
Quoiqu’il en soit, cette rétrospective donne vraiment
envie de réécouter tous les grands titres de Bowie ! La Philharmonie de
Paris a aussi développé plusieurs idées sympathiques autour de cette expo :
des ateliers de maquillage avec les élèves de la Make Up For Ever Academy (tous
les mercredis de 16 à 18h), une redécouverte des titres sur itunes et un
concours de selfie qui consiste à se maquiller et à se prendre en photo avant
de la poster sur instagram ou twitter avec le hashtag #davidbowieisme…
Un mini kouign amann de chez Larnicol... pour réchauffer ce temps de pluie du dimanche à Paris! |
Une expo : « David Bowie Is » à la Philharmonie
Après Londres, une exposition sympathique toute en
musique ! Même si mon mec a pu trouver le tout assez fouillis, j’ai
apprécié ce voyage entre pochettes d’album, objets divers, costumes de scène,
extraits de films, musiques… Mais il est vrai que la salle principale étourdie
le visiteur avec parfois deux sons qui se confrontent et une muséographie
sinueuse.
Après avoir fait la queue (même avec son billet en poche :
normal, c’est Paris), on entre dans une antichambre sombre où on vous donne un audio
guide bien foutu : il n’y a que le son à régler ! Le reste,
commentaires divers et musiques, s’ajustent au fil de la visite avec des
capteurs pour une grande partie des pièces exposées. Ainsi, on entre dans la galerie
pour Space Oddity et la musique se déclenche le temps d’apprécier dessins,
pochettes de disques, photos, écrits, journaux d’époques et clip…
Photo du site de la Philharmonie de Paris: atelier maquillage! |
C’est aussi l’occasion de voir et de rentrer dans le
bâtiment de Jean Nouvel qui n’a rien de… comment dire… à en rester bouche bée.
Mais, j’aime assez le revêtement qui change avec la lumière : de petites
plaques en fonte d’aluminium de 7 géométries et 4 teintes différentes posées en
bardage. Maintenant, l’expliquer en disant que ce sont des oiseaux et que l’ensemble
du bâtiment forme un envol…blablabla, 1er degré… on s’en passe,
quoi.
Un brunch :
Au Zaganin, c’est blindé de monde pour quatre services
qui s’enchaînent ! Le cadre est sympathique mais classique, on est un peu
serré, on se tient chaud car il pleut au dehors et on profite des mets proposés :
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Jus d’orange frais
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Café et thé à discrétion
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Petits pains et baguette + beurre et confitures
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Velouté de légumes, légèrement crémé (un poil
trop salé pour moi) mais délicieux, incontestablement !
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Petite salade avec croûtons
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Rillettes de la mer et toast
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Un morceau de fromage affiné au lait cru
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Œufs brouillés et chip de bacon
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Frites de patates douces : le meilleur, un
délice, un régal ! Croustillantes, fondantes et légèrement sucrées :
je veux d’autres recettes avec de la patate douce à présent !
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Foie gras sur du pain d’épices
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Un petit beignet au lemon curd
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Fromage blanc et marmelade
Ce brunch peut être accompagné d’une flûte de champagne
ou d’huîtres : mais il faut un estomac qui suit ! Le prix initial de
celui-ci est de 23.50 euros. Il en existe un autre à 20 euros (voir sur leur site). Cependant, en passant par Où Bruncher, notre table de 4 couverts à
profité d’un offre à -20%, soit 18.80 le brunch. C’est vraiment une bonne
affaire pour ce repas et… pour Paris où les brunchs grimpent vite jusqu’à 29
euros !
Une promenade :
Habituée du quartier de la Bastille où j’ai mes adresses
que je dévalise à chaque fois, il était bon de bouleverser un peu ces habitudes !
Et la rue des Martyrs est idéale : que d’enseignes ! Les accessoires
et les vêtements se mêlent aux odeurs de boulangerie et les pâtisseries font
légion : Popelini, Mesdemoiselles Madeleine… Et Rose Bakery n’est pas loin
pour un tea time à l’anglaise !
Deux vues :
Celle de Bellevue près du O’Paris (un petit resto qui
propose des formules le midi à des prix plus que corrects et qui cuisine du
frais) et celle de Montmartre. Je n’avais jamais été me balader dans ce
quartier très touristique… Si le Sacré-Cœur est une belle… euh… enfin disons un
imposant monument kitschissime et les touristes omniprésents autour des cafés
pour lesquels travaillent des serveurs costumés ( ?!?), le site est tout
de même agréable et on croise des gens vraiment différents.
Quelques boutiques :
Les Cakes de
Bertrand
Située rue Bourdaloue, la petit boutique fourmille de sacs,
pochettes et accessoires très divers des imprimés les plus soft aux plus
excentriques… Même si la marque possède un e-shop sympathique, beaucoup de
références ne sont pas présentes en ligne et il est plus facile de se rendre
compte de l’imprimé en « réel » ! J’y ai choisi un sac, que j’avais
repéré sur la boutique en ligne mais aussi une pochette, un marque-page, un
miroir, une tisanière et un petit plateau « Eugénie ». Bref, j’ai
craqué ! Cette marque met un peu de
folie dans le quotidien : ce n’est pas plus mal !
œufs de mouette et caramels de la Maison Larnicol... |
Buly 1803
Rue Bonaparte, il y a de cela 1 an, Victoire de Taillac a
repris avec son mari une petite officine : celle de Bully créée en 1803.
Parfums naturels, cosmétiques aux flacons précieux et aux compositions natures…
On a envie de tout acheter ! J’y consacrerai un article en particulier
plus tard…
Lush
Impossible de passer dans une grande ville française sans
que je m’arrête chez Lush. Avec le changement du cours du franc suisse, hors de
question de faire mon shopping lush à domicile ! J’y ai rapporté un rehausseur
de teint qui me permet de fabriquer ma crème teintée sur-mesure, un shampoing
ultra doux qui sent divinement bon, un masque frais dont j’ai la pratique et
qui est génial pour les peaux sensibles et mixtes, et deux échantillons de gel
douche…
La Maison
Larnicol
En balade dans les rues de Montmartre : arrêt dans
cette boutique bien connue même si je fréquente d’ordinaire celle du quai
Saint-Martin à Auray…mais ça, c’était avant la Suisse ! Même au régime, on
ne peut rester insensible et résister à acheter quelques mini kouign amann,
caramels au beurre salé ou aux graines de sésame et des œufs de mouettes aux pralinés
variés (feuilleté, au caramel beurre salé…)
Le Chocolat, la
manufacture Alain Ducasse
nota bene: l'adresse sur le sac n'est plus juste, celle sur la carte de visite, oui! |
Au 40 rue de la Roquette, au fond d’une jolie petite
cour, se cache un chocolatier bean-to-bar dont j’avais parlé dans un article précédent :
Nicolas Berger, qui travaille pour Alain Ducasse. Si on ramène d’ordinaire de
Paris des macarons ou des gaufres de Meert, cette fois-ci, j’ai voulu en
ramener deux tablettes de chocolat de luxe : une tablette mendiant de
chocolat noir aux pistaches sablées et une tablette lait fourrée au praliné et
fleur de sel… Je n’ai goûté que cette dernière car, comme c’est dommage, elle s’était
un peu abimée dans mon sac à dos à bourlinguer toute la journée. Verdict ?
Délicieux ! Le praliné est comme je l’aime, encore croquant sous la dent,
bien texturé, on sent bien les noisettes et la fleur de sel arrive en dernier
pour finir sur cette note légèrement salée qui va si bien au chocolat… J’y
retournerai, mais avec parcimonie car la tablette entre 10 et 14 euros, cela reste
un luxe !
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